La bronchiolite aiguë est une infection touchant 460 000 nourrissons par an en France (30 % de la population des nourrissons), ce qui constitue un problème de santé publique. C’est un motif fréquent de consultation pendant la période hivernale en médecine générale.
Le burn-out est une cause importante d'inaptitude au travail. A cause de la pression toujours plus forte sur la profession médicale, les plaintes suite au stress augmentent aussi chez les médecins. Ce module traite de la reconnaissance, de la prévention et de la prise en charge du burn-out.
Les grands changements dans le calendrier vaccinal datent de 2013. Mais il est toujours utile de vérifier sa pratique à l'aune des connaissances et recommandations actuelles, de (re)découvrir des sites particulièrement utiles.
Ce module Excellencis couvre l'ensemble de la problématique vaccinale hors voyage (qui fait partie d'un module particulier).
De nombreux cancers d’origine professionnelle ne sont jamais reconnus car pas déclarés :
« Statistiques des accidents et des maladies liés au travail
La Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) édite chaque année des statistiques nationales des accidents du travail et des maladies professionnelles. Ces données concernent uniquement les travailleurs du régime général de la Sécurité sociale (secteur privé). Elles sont disponibles pour la France entière, par secteur d’activité et par risque.
Les statistiques nationales des accidents du travail et des maladies professionnelles fournissent des informations chiffrées au niveau de la France entière, par région, par grand secteur d’activité (Comité technique national ou CTN) et par numéro de risque (activités).
Elles sont diffusées chaque année par la CNAMTS avec au moins un an de décalage. Les données régionales sont diffusées par les CARSAT, CRAM ou CGSS.
Limitations des données disponibles
Les données recueillies par la CNAMTS sont partielles : elles ne concernent que les salariés du régime général de la Sécurité sociale. Ne sont pas pris en compte les secteurs publics, parapublics, les régimes spéciaux (mines, RATP, SNCF…), le régime agricole, ainsi que tous les travailleurs indépendants.
De plus, concernant les maladies professionnelles, l’origine professionnelle de certaines maladies n’est pas toujours évoquée par les salariés ou par leurs médecins, ce qui conduit à une sous-estimation de leur nombre ». http://www.inrs.fr/accueil/accidents-maladies/statistique-accident-maladie.html
La population vieillit, les cancers augmentent. Parmi ceux-ci un certain nombre sont accessibles à un dépistage, organisé ou non.
Même si le dépistage semble dans le public toujours une bonne idée, les polémiques surgissent, preuve que les choses ne sont pas aussi simples.
Ce module est destiné à vous clarifier les idées, sur le dépistage (sans signe d'appel) des cancers de la prostate, du colon, du col de l'utérus et du sein.
Vous pourrez ainsi informer vos patients et les laisser choisir de façon éclairée.
Ce thème a été choisi en raison de sa très grande fréquence en pratique de soins primaires. Le médecin généraliste peut facilement se sentir en difficulté : soit en ne faisant pas confiance aux signes cliniques qui constituent souvent les clefs de la majorité des diagnostics, soit en passant à côté d’une céphalée organique qui bien que rare en soins primaires doit être prise en charge sans retard. De plus, les prises en charges thérapeutiques doivent être bien maitrisées. En effet, nombres de patients sont soignés de manière inadaptée, notamment par l'automédication. L’une de ces conséquences en est l’apparition des céphalées médicamenteuses. Mais également nombre de médicament ont une balance bénéfices / risques qui n’est plus favorable. Ce module doit vous permettre de clarifier les connaissances basiques pour votre exercice quotidien.
Ce module s’appuie sur les recommandations ANAES/HAS, sachant qu'il existe parfois des divergences par rapport à d’autres recommandations internationales. Il n’existe cependant pas d’autre recommandation française.
Une actualisation des recommandations (ANAES/HAS) de 2002 a été réalisée en 2012, par la Société française d’étude des migraines et des céphalées (SFEMC). Cette recommandation doit être lue et prise en compte avec une prudence particulière. En effet, ainsi que le précisent les auteurs « Initialement, ce projet a été élaboré à la demande de la HAS, mais cette dernière a récusée la majorité des membres du groupe de travail au motif de leurs liens d’intérêt. La SFEMC a décidé de produire en son nom propre ces recommandations ».
Cette prudence vaut également pour la recommandation de 2002, car de nombreux membres de l’actualisation de 2012 étaient membres de la recommandation de 2002 et présentaient déjà des liens d’intérêt identiques, même si la HAS, dans le toilettage des recommandations qu’elle a effectué en 2012 n’a pas retiré cette recommandation.
La société savante internationale, l’International Headache Society (IHS) qui émet les critères diagnostics de céphalées et migraines a mis à jour en 2013 sa classification. Les modifications notables sont prises en compte dans ce module.
Cette actualisation inclut également les revues systématiques effectuées par le réseau Cochrane ou par la Revue Prescrire ainsi que diverses données récentes de pharmacovigilance et le retrait des autorisations de mise sur le marché de plusieurs médicaments. Ces informations doivent être prises en compte en soins courants.
Compte-tenu de l’importance de ce module nous le proposons en 2 opus, le premier abordant l’épidémiologie, le diagnostic et le repérage des urgences et le deuxième se centrant sur les prises en charges thérapeutiques.
Ce thème a été choisi en raison de sa très grande fréquence en pratique de soins primaires. Le médecin généraliste peut facilement se sentir en difficulté : soit en ne faisant pas confiance aux signes cliniques qui constituent souvent les clefs de la majorité des diagnostics, soit en passant à côté d’une céphalée organique qui bien que rare en soins primaires doit être prise en charge sans retard. De plus, les prises en charges thérapeutiques doivent être bien maitrisées. En effet, nombres de patients sont soignés de manière inadaptée, notamment par l'automédication. L’une de ces conséquences en est l’apparition des céphalées médicamenteuses. Mais également nombre de médicament ont une balance bénéfices / risques qui n’est plus favorable. Ce module doit vous permettre de clarifier les connaissances basiques pour votre exercice quotidien.
Ce module s’appuie sur les recommandations ANAES/HAS, sachant qu'il existe parfois des divergences par rapport à d’autres recommandations internationales. Il n’existe cependant pas d’autre recommandation française.
Une actualisation des recommandations (ANAES/HAS) de 2002 a été réalisée en 2012, par la Société française d’étude des migraines et des céphalées (SFEMC). Cette recommandation doit être lue et prise en compte avec une prudence particulière. En effet, ainsi que le précisent les auteurs « Initialement, ce projet a été élaboré à la demande de la HAS, mais cette dernière a récusée la majorité des membres du groupe de travail au motif de leurs liens d’intérêt. La SFEMC a décidé de produire en son nom propre ces recommandations. »
Cette prudence vaut également pour la recommandation de 2002, car de nombreux membres de l’actualisation de 2012 étaient membres de la recommandation de 2002 et présentaient déjà des liens d’intérêt identiques, même si la HAS, dans le toilettage des recommandations qu’elle a effectué en 2012 n’a pas retiré cette recommandation.
La société savante internationale, l’International Headache Society (IHS) qui émet les critères diagnostics de céphalées et migraines a mis à jour en 2013 sa classification. Les modifications notables sont prises en compte dans ce module.
Cette actualisation inclut également les revues systématiques effectuées par le réseau Cochrane ou par la Revue Prescrire ainsi que diverses données récentes de pharmacovigilance et le retrait des autorisations de mise sur le marché de plusieurs médicaments. Ces informations doivent être prises en compte en soins courants.
Compte-tenu de l’importance de ce module nous le proposons en 2 opus, le premier abordant l’épidémiologie, le diagnostic et le repérage des urgences et le deuxième se centrant sur les prises en charges thérapeutiques.
Le dépistage du cancer du sein est une action de santé publique qui a été généralisée en 2004, alors que ce dépistage était déjà l’objet de controverses. Celles-ci portaient sur son efficacité et sur ses risques. Alors, Mammo ou « No Mammo ? ». L’objectif de ce module est de vous rappeler quelques notions, qui vous permettront de répondre aux demandes d’information des patientes.
L’insuffisance cardiaque (IC) a fait l’objet en février 2012 d’une publication de la HAS intitulée « guide du parcours de soins ».
Ce module est essentiellement basé sur cette référence.
Il permet de faire le point sur cette pathologie de plus en plus fréquente, sur ses difficultés diagnostiques mais aussi sur le traitement et le suivi des patients.
Les maladies de la thyroïde (dysthyroïdies) sont de fréquents motifs de consultation. L’affaire très médiatisée dite du « Lévothyrox® » en 2017 en est l’un des témoins. Avec l’apport de la biologie, de l’imagerie, des progrès sanitaires divers, des interventions médicamenteuses ou chirurgicales assez bien évaluées, il serait logique de penser que la prise en charge de ces pathologies repose sur des recommandations très solides scientifiquement. Pourtant de nombreuses questions sont toujours débattues. Nous vous proposons d’aborder des points essentiels permettant ensuite dans la pratique clinique quotidienne de se repérer plus aisément.
Nous proposons cette formation en plusieurs modules. Ces modules peuvent être réalisés indépendamment les uns des autres, même s’il existe une logique dans leur enchaînement.
Dans ce module sur les hyperthyroïdies vous allez découvrir les différents aspects de la prise en charge thérapeutique. Pour ce qui est des causes et de la sémiologie, nous vous invitons à vous reporter aux modules précédents. Nous avons centré ce module sur les cas les plus fréquents dont la connaissance impacte plus fortement la pratique quotidienne. Ne sont pas abordés les spécificités de la prise en charge d’une hyperthyroïdie chez l’enfant ou chez une femme enceinte.
Les maladies de la thyroïde (dysthyroïdies) sont de fréquents motifs de consultation. L’affaire très médiatisée dite du « Lévothyrox® » en 2017 en est l’un des témoins. Avec l’apport de la biologie, de l’imagerie, des progrès sanitaires divers, des interventions médicamenteuses ou chirurgicales assez bien évaluées, il serait logique de penser que la prise en charge de ces pathologies repose sur des recommandations très solides scientifiquement. Pourtant de nombreuses questions sont toujours débattues. Nous aborderons les points essentiels permettant de se repérer plus aisément dans la pratique clinique quotidienne.
Dans ce module sur les nodules thyroïdiens sans hyperthyroïdie vous allez découvrir différents éléments notamment les bilans d’imagerie réalisés tant pour le diagnostic que pour la surveillance. Nous avons centré ce module sur les cas les plus fréquents dont la connaissance impacte plus fortement la pratique quotidienne. Nous avons exclu de cette formation certains cas particuliers comme celui de la femme enceinte ou des enfants.
Les maladies de la thyroïde (dysthyroïdies) sont de fréquents motifs de consultation. L’affaire très médiatisée dite du « Lévothyrox® » en 2017 en est l’un des témoins. Avec l’apport de la biologie, de l’imagerie, des progrès sanitaires divers, des interventions médicamenteuses ou chirurgicales assez bien évaluées, il serait logique de penser que la prise en charge de ces pathologies repose sur des recommandations très solides scientifiquement. Pourtant de nombreuses questions sont toujours débattues. Nous vous proposons d’aborder des points essentiels permettant ensuite dans la pratique clinique quotidienne de se repérer plus aisément.
Nous proposons cette formation en quatre modules, deux sur les hypothyroïdies et leurs traitements, et d’autres sur les hyperthyroïdies et les autres dysthyroïdies. Ces modules peuvent être réalisés indépendamment les uns des autres, même s’il existe une logique dans leur enchaînement.
Dans ce premier module sur les hypothyroïdies vous allez découvrir des aspects de l’épidémiologie, des différentes formes cliniques, biologiques et étiologiques, et leurs conséquences selon qu’elles seront traitées ou non. Seront également abordées la prise en charge diagnostique, et la particularité de l’hypothyroïdie survenant lors d’une grossesse ou chez une personne âgée.
Les formes étiologiques particulières que sont notamment les thyroïdites, ainsi que les critères de qualité des échographies seront abordées dans le quatrième module.
Pour répondre aux questions posées nous avons identifié initialement les recommandations et revues de la littérature en français, qui sont plus faciles d’accès pour ceux qui souhaitent poursuivre leur lecture. Nous avons complété cette bibliographie par l’analyse de plusieurs revues de la littérature ou méta-analyses publiées dans des revues internationales au cours des 10 dernières années.
Les maladies de la thyroïde (dysthyroïdies) sont de fréquents motifs de consultations. L’affaire très médiatisée dite du « Lévothyrox® » en 2017 en est l’un des témoins. Avec l’apport de la biologie, de l’imagerie, des progrès sanitaires divers, des interventions médicamenteuses ou chirurgicales assez bien évaluées, il serait logique de penser que la prise en charge de ces pathologies repose sur des recommandations très solides scientifiquement. Pourtant de nombreuses questions sont toujours débattues. Nous vous proposons d’aborder des points essentiels permettant ensuite dans la pratique clinique quotidienne de se repérer plus aisément.
Nous proposons cette formation en quatre modules, deux sur les hypothyroïdies et leurs traitements, et d’autres sur les hyperthyroïdies et les autres dysthyroïdies. Ces modules peuvent être réalisés indépendamment les uns des autres, même s’il existe une logique dans leur enchaînement.
Dans ce deuxième module sur les hypothyroïdies vous allez découvrir les particularités de la prise en charge des personnes âgées, des hypothyroïdies frustes et des hypothyroïdies avérées, ainsi que certaines informations sur le médicament Lévothyrox® disponibles fin 2017.
Pour répondre aux questions posées nous avons identifié initialement les recommandations et revues de la littérature en français et les Résumés des Caractéristiques du Produit, qui sont plus faciles d’accès pour ceux qui souhaitent poursuivre leur lecture. Nous avons complété cette bibliographie par l’analyse de plusieurs revues de la littérature ou méta-analyses publiées dans des revues internationales au cours des 10 dernières années.
Les maladies de la thyroïde (dysthyroïdies) sont de fréquents motifs de consultation. L’affaire très médiatisée dite du « Lévothyrox® » en 2017 en est l’un des témoins. Avec l’apport de la biologie, de l’imagerie, des progrès sanitaires divers, des interventions médicamenteuses ou chirurgicales assez bien évaluées, il serait logique de penser que la prise en charge de ces pathologies repose sur des recommandations très solides scientifiquement. Pourtant de nombreuses questions sont toujours débattues. Nous vous proposons d’aborder des points essentiels permettant ensuite dans la pratique clinique quotidienne de se repérer plus aisément.
Nous proposons cette formation en plusieurs modules. Ces modules peuvent être réalisés indépendamment les uns des autres, même s’il existe une logique dans leur enchaînement.
Dans ce module sur les hyperthyroïdies vous allez découvrir des aspects de l’épidémiologie, de la clinique et de la biologie. Nous avons centré ce module sur des cas fréquents en pratique quotidienne. Seront également abordées la prise en charge diagnostique de la maladie de Basedow ainsi que la découverte d’une hyperthyroïdie au cours de la grossesse et lors de la prise d’amiodarone.
D’autres causes particulières seront abordées dans un autre module.
La recherche médicale nécessite une analyse statistique exacte des données collectées. Ce module se propose de vous familiariser aux principaux outils de la statistique médicale afin de vous aider à comprendre au mieux les études publiées.
Pour aller plus loin :
Interprétation des essais cliniques pour la pratique médicale - Michel Cucherat UMR CNRS 5558, Faculté de médecine Lyon Laennec
Statistiques Médicales En Ligne
"La fibrillation atriale (FA) est un trouble du rythme cardiaque supraventriculaire, cause de tachyarythmie. Elle peut être suspectée cliniquement mais ne peut être caractérisée qu’à l’ECG.
Du fait des similitudes de prise en charge, on traitera ici, sous le terme général de FA : la fibrillation atriale, et par extension, le flutter atrial et les autres formes de tachycardie atriale.
La gravité de la FA est en effet liée au risque thromboembolique (TE) et au risque d’insuffisance cardiaque qui est fonction de la cardiopathie sous-jacente. L’enjeu principal du traitement est de prévenir la survenue de ces accidents, notamment des accidents vasculaires cérébraux (AVC) ischémiques."
Selon le Haut Comité de santé publique, l'hypertension artérielle (HTA) touche environ 7 millions d'individus en France et génère la prescription de médicaments antihypertenseurs pour un coût équivalent de 4 milliards d'euros par an. La prise en charge du patient hypertendu repose à la fois sur les valeurs de la pression artérielle et sur le niveau de risque cardiovasculaire global (RCV). A partir de 40 ans, il est nécessaire d'évaluer le RCV dont l'HTA est un des principaux déterminants.
Les objectifs pédagogiques de ce module sont :
1- Identifier l'HTA et définir une stratégie thérapeutique individualisée.
2- Identifier les facteurs de risque et atteinte des organes ciblés.
3- Rechercher une maladie cardiovasculaire et rénale associée afin d'estimer le niveau de risque cardiovasculaire.
4- Ne pas méconnaître une HTA secondaire.
C'est un module qui permet de valider avec d'autres le DPC Excellencis proposé par l'A2FM.
La réalisation de ce module dans le cadre du DPC nécessite une phase de retour sur des dossiers de patients avant de répondre au questionnaire, et une nouvelle réalisation quelques mois plus tard, après avoir répondu une nouvelle fois aux mêmes questions après retour sur des dossiers patients.
Ce module est basé sur une référence principale :
FAVORISER L’ALLAITEMENT MATERNEL Processus – Évaluation, HAS juin 2006.
Ce document est lui-même basé sur une recommandation de l’ANAES de 2002 à laquelle nous vous conseillons de vous reporter pour plus de détails.
Pour chaque question, un commentaire permet de retrouver rapidement la page de la recommandation où vous trouverez la justification.
L’ensemble de la problématique de l’allaitement ne peut être résumé à 10 ou 15 questions.
Nous vous encourageons à entrer plus en détails dans les recommandations.
Rappel du PNNS : Programme National Nutrition Santé 2011-2015
AXE 1 : Réduire par des actions spécifiques les inégalités sociales de santé dans le champ de la nutrition au sein d’actions générales de prévention
Mesure 5 • Promouvoir l’allaitement maternel
L’allaitement est une pratique intime, liée à l’histoire et à la culture de chaque société, dont la décision revient à chaque femme. C’est une pratique dont les bénéfices pour la santé de l’enfant allaité et de sa mère à court, moyen et long terme, ont été scientifiquement démontrés. La décision d’allaiter est un choix individuel qui tient compte du savoir, de la disponibilité, des traditions, des moyens et des représentations de chaque femme.
ACTION
13. Mettre en œuvre des mesures issues du plan d’action allaitement pour :
(13.1) communiquer, informer et sensibiliser les mères sur les modes d’alimentation du nouveau-né, en intégrant un regard objectif sur l’allaitement maternel (en bénéfices comme en conditions à réunir) pour permettre un véritable choix éclairé;
(13.2) s’assurer que les services de maternité offrent effectivement aux femmes le droit à l’information personnalisée et objective permettant ce choix. Les établissements réunissant ces conditions doivent l’inscrire dans le processus de certification.
L’entorse de la cheville, la plus fréquente lésion en traumatologie sportive.
Nous vous proposons donc de faire le point sur les examens et investigations à mener ou non lors de la première consultation.
Puis de proposer le traitement le plus adapté à ce moment-là en fonction de la gravité.
C'est un module qui permet de valider avec d'autres le DPC Excellencis proposé par l'A2FM.
La réalisation de ce module dans le cadre du DPC nécessite une phase de retour sur des dossiers de patients avant de répondre au questionnaire, et une nouvelle réalisation quelques mois plus tard, après avoir répondu une nouvelle fois aux mêmes questions après retour sur des dossiers patients.
Nos patients viennent immanquablement nous voir en consultation avant un voyage, et cela à juste titre.
C'est une bonne occasion d'en faire une consultation de prévention générale et ciblée sur le voyage et elle nécessite de la part du médecin la mise en oeuvre de nombreuses connaissances qui doivent être régulièrement actualisées.
Ce module, basé sur les Recommandations sanitaires pour les voyageurs de 2013 du BEH, permet de revoir les principales situations qui précèdent un voyage pour nos patients et accessoirement pour nous-mêmes.
C'est un module qui permet de valider avec d'autres le DPC Excellencis proposé par l'A2FM.
La réalisation de ce module dans le cadre du DPC nécessite une phase de retour sur des dossiers de patients avant de répondre au questionnaire, et une nouvelle réalisation quelques mois plus tard, après avoir répondu une nouvelle fois aux mêmes questions après retour sur des dossiers patients.
La ménopause touche près de 10 millions de femmes en France. Environ 300 à 500 000 femmes entrent en ménopause chaque année. Les aspects cliniques, les symptômes à court et à long terme et les traitements hormonaux de substitution sont abordés et commentés dans ce module.
Un médicament est commercialisé en France. Depuis quand ? Par qui ? Pourquoi? Avec quelle efficacité ? Ce module aborde quelques notions élémentaires. Il fait partie d'un ensemble de modules, qui sera destiné à vous montrer le "dessous des cartes", ou les procédures que les firmes pharmaceutiques doivent suivre pour obtenir une autorisation de vente d'un médicament en France.
C'est un module qui permet de valider avec d'autres le DPC Excellencis proposé par l'A2FM.
La réalisation de ce module dans le cadre du DPC nécessite une phase de retour sur des dossiers de patients avant de répondre au questionnaire, et une nouvelle réalisation quelques mois plus tard, après avoir répondu une nouvelle fois aux mêmes questions après retour sur des dossiers patients.
La fibrillation atriale auriculaire, appelée aussi fibrillation atriale (FA) est un trouble du rythme cardiaque supraventriculaire, cause de tachyarythmie. Elle peut être suspectée cliniquement mais ne peut être caractérisée qu’à l’ECG.
Le terme de fibrillation auriculaire est d'usage habituel, mais depuis 1998 la dénomination académique est « fibrillation atriale », les oreillettes cardiaques ayant été renommés « atria » dans la nouvelle nomenclature anatomique.
La gravité de la FA est liée au risque thromboembolique et au risque d’insuffisance cardiaque qui est fonction de la cardiopathie sous-jacente éventuelle. L’enjeu principal du traitement est de prévenir la survenue de ces accidents, notamment des accidents vasculaires cérébraux ischémiques.
La FA est le trouble du rythme le plus fréquent. Sa prévalence, de l’ordre de 1 % dans la population générale, augmente rapidement avec l’âge. Près de 70 % des patients en fibrillation atriale ont plus de 75 ans et sa prévalence est supérieure à 10 % chez les personnes de plus de 80 ans (17 % au-delà de 85 ans).
La prévalence de la fibrillation atriale est plus élevée chez les hommes que chez les femmes, mais en raison de la plus grande espérance de vie des femmes, le nombre de cas absolu est équivalent chez les hommes et chez les femmes.
Du fait des similitudes de prise en charge, on traitera ici, sous le terme général de FA : la fibrillation atriale, et par extension, le flutter atrial et les autres formes de tachycardie atriale.
La FA a fait l'objet récemment (février 2014) d'un guide de prise en charge de la HAS.
Ce module vous propose de revoir le diagnostic et la prise en charge de la FA au travers du parcours de M. Martin, votre patient.
De très ancienne tradition, le secret médical doit rester un devoir du médecin contemporain. En effet, « il n’y a pas de soins sans confidences, de confidences sans confiance, de confiance sans secret ». Le médecin ne doit rien révéler de ce qu’il a connu ou appris ou même deviné sur son patient sauf dérogations légales.
Ce module permettra de situer et d’approfondir ses connaissances à ce sujet car chaque médecin est confronté à des situations qui peuvent l’interroger sur ce devoir. Le code de déontologie qui est censé être connu de chacun est utile à relire régulièrement et l’Ordre des Médecins se tient à la disposition de chacun pour tout conseil.
Les médicaments ont parfois des effets qui vous semblent peu ou pas explicables, que vous les ayez recherchés ou non...Ce qui peut vous embarrasser lorsqu'un patient vous demande de justifier vos prescriptions. Ce module décrit quelques propriétés des médicaments. Il fait partie d'un ensemble de modules, qui sera destiné à expliquer pourquoi et comment ces effets surviennent.
C'est un module qui permet de valider avec d'autres le DPC Excellencis proposé par l'A2FM.
La réalisation de ce module dans le cadre du DPC nécessite une phase de retour sur des dossiers de patients avant de répondre au questionnaire, et une nouvelle réalisation quelques mois plus tard, après avoir répondu une nouvelle fois aux mêmes questions après retour sur des dossiers patients.
La part de la dermatologie pédiatrique dans l’exercice de la médecine générale représente un pourcentage important dans l’exercice quotidien des médecins généralistes. Nous vous proposons dans ce nouveau module, de présenter des situations pratiques caractéristiques destinées à faciliter notre expertise médicale diagnostique. Bien voir, connaître et reconnaître. Voici des images typiques pour assurer fermement votre savoir.
Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques. Ce déséquilibre aboutit à une inflation des réserves stockées dans le tissu graisseux qui entraîne elle-même de nombreuses complications.
L’obésité concerne aujourd’hui la quasi-totalité de la planète, y compris de nombreux pays émergents : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 35 % des adultes dans le monde sont atteints d’obésité ou de surpoids. Les complications associées, en particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires, entraînent le décès d’au moins 2,8 millions de personnes chaque année. En France, l’obésité concernait 15 % des adultes en 2012, contre seulement 6,1% en 1980. Toutefois, les données les plus récentes, datant de 2012, sont porteuses d’espoir : pour la première fois en plus de 30 ans, la progression de l’obésité ralentit enfin dans notre pays.
L’obésité, une maladie aux multiples conséquences. L’obésité entraîne des troubles de santé dont les principaux sont le diabète de type 2 (dans 80 % des cas, la maladie est associée à une obésité), l’hypertension artérielle, les dyslipidémies, les atteintes cardiovasculaires, le syndrome d’apnée du sommeil et d’autres maladies respiratoires, ainsi que des maladies articulaires telles que l’arthrose. L’obésité est en outre associée à un risque accru de certains cancers, en particulier de cancer de l’endomètre (utérus). Il faut également souligner le retentissement psychologique et social de la maladie, qui conduit de nombreux patients à venir consulter.
C'est donc un sujet majeur pour tous les médecins, objet de pas moins de 3 guides de recommandations par l'HAS.
Geste très quotidien de la pratique médicale, l'otoscopie réserve quelques écueils. Nous vous proposons dans ce nouveau module, de présenter des situations pratiques caractéristiques destinées à faciliter notre expertise médicale diagnostique. Bien voir, connaître et reconnaître. Voici des images typiques pour assurer fermement votre savoir.
Les patients âgés avec plusieurs pathologies représentent une part de plus en plus importante de l’activité des médecins de famille. La gestion des dossiers correspondants se fait non plus au cabinet médical mais de plus en plus à domicile du fait des handicaps. Ces patients sont souvent fragiles, et ils nécessitent de plus en plus des soins quotidiens. Ces patients et leurs aidants sont demandeurs d’aide, souvent plusieurs médecins spécialistes sont consultés par ces patients (cardiologue, néphrologue, voire pneumologue, psychiatre, dermatologue). Il est donc indispensable que le médecin traitant coordonne les soins en accord avec les différents intervenants que sont les aidants familiaux, les infirmières, les kinésithérapeutes, le pharmacien, les aides-soignants, les aide-ménagères, voire l’HAD.
Les problèmes rencontrés sont :
- la gestion de l’observance des traitements,
- comment éviter la iatrogénie,
- la prévention des chutes,
- lutter contre la dépression,
- comment éviter des hospitalisations itératives aux urgences.
Les pathologies génito-scrotales sont fréquentes dans notre pratique de médecins généralistes. Nous vous proposons dans ce nouveau module, des situations pratiques caractéristiques destinées à faciliter votre prise en charge et surtout à identifier des situations d’urgence.
Prescrire est un acte qui conclut la quasi-totalité des consultations. Nous avons conçu, comme un parcours de randonnée, ce programme de formation. Vous allez ainsi cheminer de la recherche clinique, dont vous avez entendu parler, à la prescription et la déprescription que vous effectuez quotidiennement.
Prescrire est un acte qui conclut la quasi-totalité des consultations. Nous avons conçu, comme un parcours de randonnée, ce programme de formation. Vous allez ainsi cheminer de la recherche clinique, dont vous avez entendu parler, à la prescription et à la déprescription que vous effectuez quotidiennement. Ce programme est composé de 3 modules qui forment un tout cohérent. Vous pouvez cependant l’effectuer dans l’ordre ou le désordre ou même partiellement. Ce module n°2 est une promenade où vous redécouvrirez ce qui fait le quotidien de vos prescriptions. Certaines interrogations auxquelles vous n’avez pas forcément le temps de répondre. Notre objectif est de vous donner des clefs simples pour mettre en œuvre des outils au cours de vos consultations habituelles. Votre mission, si vous l’acceptez est de sécuriser vos prescriptions.
Prescrire est un acte qui conclut la quasi-totalité des consultations. Nous avons conçu, comme un parcours de randonnée, ce programme de formation. Vous allez ainsi cheminer de la recherche clinique, dont vous avez entendu parler, à la prescription et à la déprescription que vous effectuez quotidiennement. Ce programme est composé de 3 modules qui forment un tout cohérent. Vous pouvez cependant soit l’effectuer dans l’ordre ou le désordre ou même partiellement. Notre ère moderne qui a largement profité d’indéniables progrès a aussi donné naissance à une surmédicalisation dont nous prenons de plus en plus conscience. Prenons l’exemple de ces lignes de prescription qui sont plus facilement ajoutées que retirées, donnant lieu à des mélanges potentiellement dangereux notamment chez une personne âgée. C’est également l’exemple des médicaments, bénéficiant d’une forte promotion qui se retrouvent facilement souvent sous la plume des prescripteurs, alors même que ceux-ci ne constituent souvent aucun progrès. Ils sont parfois même plus toxiques que d’anciens médicaments qui restent la référence. Aussi ce module n°3, consacré à la déprescription, se propose de vous faire découvrir, au travers de la résolution de situations de la vie quotidienne, pourquoi et comment le médecin peut déprescrire.
Ce module n’a pas pour ambition finale de tout savoir ou tout connaitre concernant le dopage et les produits dopants. Son but est simplement de nous sensibiliser nous autres médecins, professionnels et responsables de la santé de nos patients, à l’usage illicite ou abusif de certains produits ou techniques qui pourraient nuire à l’égalité entre sportifs, ou plus gravement nuire à la santé de nos patients. Quelques grandes idées vont donc être abordées ... juste à doses suffisantes et non toxiques afin d’y penser à chaque fois, notamment lorsque nous ferons un certificat médical de non contre-indication à une épreuve sportive ou même pour une simple demande de licence. Un certain nombre de liens sont fournis pour les plus « addicts » et les plus assoiffés de connaissances (!).
Depuis quelques années, les lois, décrets, règlements, circulaires qui encadrent régissent l’exercice libéral et l’entreprise médicale se sont multipliés et complexifiés.
« Nul n’est censé ignorer la loi », et cependant à l’heure actuelle, il est facile d’ignorer ou mal appliquer ces réglementations, ce qui est source de conflit avec les assurances maladie, les administrations.
Environnement de travail, administration, Ordre des Médecins, formulaires divers et variés, droits des patients, paiement à l’acte et paiement forfaitaire, il y en a pour tous les goûts.
Et surtout on entend beaucoup d’approximations, d’idées fausses et d’interprétations erronées, parfois même de la part des administrations concernées !
C’est pourquoi il vous est proposé de vous remémorer ces règles pour gagner en efficacité et sérénité.
Et nous espérons que cela vous donnera l’envie de vous renseigner par vous-même quand un point de règlementation n’est pas clair.
Les médecins prescrivent, depuis des siècles … des médicaments, de l’imagerie, des actes paramédicaux, des conseils.
Cependant les réglementations qui encadrent et régissent les prescriptions, en particulier médicamenteuses, se sont multipliées et complexifiées.
A l’heure actuelle, il est facile d’ignorer ou mal appliquer ces réglementations, ce qui est source de conflit avec les assurances maladie, de perte de temps pour refaire les prescriptions ou en éclaircissements avec les pharmaciens, d’incompréhension pour les patients.
C’est pourquoi il vous est proposé de vous remémorer ces règles pour gagner en efficacité et sérénité.
Selon la spécialité, l’une ou l’autre question vous concernera moins, mais il est utile d’élargir son horizon !
La HAS a produit une recommandation sur le sevrage tabac en octobre 2013. Cet Excellencis A2FM permet de revoir les principaux points du sevrage tabac actualisés par l’éclairage de cette recommandation.
Il concerne tous les médecins, fumeurs ou non !
Les généralistes utilisent le C ou le CS, les spécialistes des autres spécialités utilisent le CS associé à des modificateurs, et des actes NGAP spécifiques de leur spécialité pour les pédiatres, cardiologues, psychiatres, endocrinologues... La CCAM quant à elle s’adresse à tous.
Il s’agit d’un véritable maquis de règles et de cotations, qui se compliquent de plus en plus.
C’est pourquoi il vous est proposé de vous plonger dans la cotation des actes que vous réalisez dans un Excellencis qui devrait vous faire accéder à des aspects méconnus, voire mal appliqués, ce qui peut être source de conflit avec les assurances maladie.
Selon la spécialité, l’une ou l’autre question vous concernera moins, mais il est utile d’élargir son horizon !
La première question est un tableau d'évaluation des pratiques à renseigner. Les 10 suivantes concernent directement la nomenclature.
Ce module n'a pratiquement pas connu de modifications entre 2013 et 2015, contrairement au deuxième consacré à la CCAM qui a été profondément modifiée au 1er janvier 2015.
Depuis le 1er mai 2017, en applicatrion de la Convention du 23 octobre 2016, les généralistes secteur 1 utilisent le G ou le GS, les secteur 2 continuent d'utiliser C ou CS et les spécialistes des autres spécialités utilisent le CS associé à des modificateurs, et des actes NGAP spécifiques de leur spécialité pour les pédiatres, cardiologues, psychiatres, endocrinologues... La CCAM quant à elle s’adresse à tous.
Il s’agit d’un véritable maquis de règles et de cotations, qui se compliquent de plus en plus.
C’est pourquoi il vous est proposé de vous plonger dans la cotation des actes que vous réalisez dans un Excellencis qui devrait vous faire accéder à des aspects méconnus, voire mal appliqués, ce qui peut être source de conflit avec les assurances maladie.
Selon la spécialité, l’une ou l’autre question vous concernera moins, mais il est utile d’élargir son horizon !
La première question est un tableau d'évaluation des pratiques à renseigner. Les 10 suivantes concernent directement la nomenclature.
Ce module est ancien, mais a été adapté à la nouvelle Convention. La structure des questions est restée identique, leur contenu a été actualisé.
Le 1er janvier 2015 a eu lieu une très importante actualisation des tarifs de la CCAM, dernière étape de la refonte prévue à l'Avenant 8 de la Convention Médicale.
Ce module permet à tous de se familiariser avec ces modifications afin d’utiliser la CCAM au mieux, mais aussi de revoir plus généralement les modalités d’élaboration de la CCAM.
La CCAM paraît (est) complexe, mais son utilisation optimale permet une rémunération au mieux des intérêts des médecins. Passer quelques temps sur ce module Excellencis A2FM peut se révéler utile, voire rémunérateur
D'autres aspects de la nomenclature complètent le premier module nomenclature et les deux forment une formation complète, mais sont aussi mis à disposition dans la formule générale Excellencis de l'A2FM.
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